La crise du coronavirus n’a pas impacté le secteur de l’immobilier de luxe en Suisse où les prix se positionnent à la hausse dans un marché très concurrentiel.
«Cette année, les ventes portant sur des objets de plus de 20 millions de francs devraient être supérieures à la moyenne de ces dernières années avec cinq ou six transactions. Mais surtout les ventes de biens de plus de 50 millions vont être plus nombreuses. On peut s’attendre à deux ou trois transactions. C’est exceptionnel car les ventes de ce niveau sont rares. » Jacques Emery, directeur des ventes Naef Prestige Knight Frank.
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